Petite chronique sociétale
De l’expiation citoyenne
D’une tyrannie sanitaire
Du salut de nos âmes…
Notre gouvernement, aux abois, ne se lasse pas de punir les français, à leur goût, mauvais, ils n’ont pas assez expié. Leur langage, j’en prends à témoins les hommes raisonnables, est celui d’un directeur de conscience, d’une sorte de chef spirituel. Ces gens là s’érigent en souverain arbitre de la conscience de chacun, de quel droit? Les fonctionnaires qui les entourent, des plus modestes aux plus élevés en dignité, déclarent sur tous les médias et en toute occasion que leur politique sanitaire est une politique réaliste. Ils proclament d’une manière solennelle que nos concitoyens sont incapables de faire preuve de responsabilité. Compte tenu de l’attitude, supposé, de nos concitoyens, le « pouvoir » estime qu’ils méritent de souffrir plus, beaucoup plus, pour le contrôle d’une crise sanitaire qui dépasse ce pouvoir qui révèle ainsi sa tendance profonde à l’autorité méprisante et coercitive … On comble, ainsi, les désirs d’un comité scientifique qui ne demande pas mieux que de continuer à se faire contre les français l’instrument d’une justice sanitaire. Si c’est cela qu’on appelle une politique réaliste, je consens à être pendu! Pourquoi, tant qu’ils y sont, ne pas se charger du salut de nos âmes ? En ce cas, je leur refuse mienne.